Nous ne sommes plus en 1860 où tout le monde avait une terre pis des semis à planter. Faut se bouger les fesses et aller à l’épicerie / au marché pour se ramener du manger à la maison si on veut se nourrir.
C’est là que tout commence. Parce que quand tu entres dans un supermarché, une épicerie ou whatever quoi qui vend du manger, sky is the limit (ou ton portefeuille aussi, ça ça te limite assez vite merci). tu peux acheter le gros luxe comme la pire crap.
En épicerie, exemple, c’est important de reconnaître le territoire : les fruits et légumes, le comptoir des viandes, la « poissonnerie », les produits laitiers, les produits surgelés pis tout le reste qui est dans le milieu qui n’a pas besoin d’être réfrigéré (je mets poissonnerie entre guillemets parce qu’une vraie poissonnerie c’est pas comme dans une épicerie, fin de la parenthèse).
En général, ce qui est essentiel se trouve sur le périmètre de l’épicerie (autour on s’entend). Tout ce qui est produit transformé (dans les rayons au centre ou dans les congélateurs), c’est du superflu.
Oui, je sais, ça implique de faire la cuisine si on fait presque juste le tour (je dis presque car au centre, y’a aussi les légumineuses, les pâtes, les céréales, les noix, etc.) mais il faut savoir que ce qui se vend le plus en librairie depuis quelques années, c’est des livres de cuisine. Il ne faut pas juste regarder les images de manger, il faut réaliser les recettes aussi et ça donne des résultats délicieux, étonnant non ? 😉
Avec Internet, viens pas me dire que t’es pas capable de te trouver une ‘tite recette en tapant un ou deux ingrédients dans Google, ça prend juste une connexion et le tour est joué !